Marine Wade
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 | Sujet: ♠ Marine Wade  Mar 2 Nov - 2:28 | |
| Marine Wade
« Si tu ne sais pas où tu vas, retiens au moins d'où tu viens. »    
 crédit | Nom :: Wade
Prénom :: Marine
Surnom :: À vous de trouver !
Âge :: 15 ans et demi
Grade :: recrue
Origine :: française
Passion/Hobbies :: la photographie, la peinture, le dessin, [...] mais surtout les chevaux 
Ambitions :: trop perdue pour en avoir
Ici depuis combien de temps :: quelques jours...
Ici de ton plein grès :: non.
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Description du physique :: X. est pluôt jolie en son genre. Ses longs cheveux bruns épais lui retombent en cascade sur les épaules, tandis que ses fins sourcils surlignent deux yeux d'ébène. Son visage, ovale, repose sur son cou gracieux. Sa peau, légerment mate, mets en avant son nez fin. Sa bouche, tout aussi belle, entoure ses dents blanches. Et puis, que dire de plus...vous avez tout de même la photo...
Particularité(s) physique(s) :: À part, peut être, l'un ou l'autre grain de bauté, la jeune fille n'a rien de spécial...physiquement.
Description du caractère :: Avant, c'était une jeune fille pétillante et pleine de vie. Elle ne ratait jamais une occasion de sourire, toujours la plus motivée. Maintenant, elle a les yeux vides. Elle est devenue triste. Elle qui a toujours été bien entourée se retrouve vouée à elle-même, abandonnée. Elle pourrait retrouvé des contact, mais dans ce monde qui n'est pas (encore) le sien, elle ne trouve pas son mot à dire. C'est devenue une fille réservée, timide. Il faut pas la brusquer, sinon, elle se mettra sur la défensive et là, il faudra vraiment beaucoup de temps pour la ravoir. Peut-être qu'un jour, elle sera de nouveau extravertie, joyeuse et amicale, mais pour le moment, ce ne sera pas elle qui fera le premier pas. Si vous y allez doucement, elle acceptera sans problème votre amitié. Elle n'attend que ça, des personnes avec qui partager le poids de la douleur de cet enfer. De son ancien caractère, un trait qu'elle a gardé, c'est sa curiosité. C'est le seul sénario où elle mettra un peu du sien. Si quelque chose l'intrigue, elle fera tout pour connaitre la vérité. Une qualité, un défaut, un problème ? À vous de voir... Histoire ::
 Enfant, je vivais à Paris. La ville bourdonnante, j'adorais. Je vivais avec mon père et ma mère, respectivement ingénieur informaticien en chef et architecte dans un grand appartement du centre. C'était surtout le boulot de mon père qui payait mais ma mère était connue pour ses talents. Ils s'occupaient de moi mais ce n'étaient pas des parents-poules. Quoique... Enfin, j'avais de temps en temps une baby-sitter. J'aimais regarder les gens du haut de nos cinq étages. Fourmies face à mon géant. En grandissant, je me lassai de cette fourmilière sous mes pieds et je profitais de chaque instant du calme de notre maison de campagne où nous allions chaque été. C'est d'ailleurs là que je fis la connaissance de ces grands équidés. Je m'en rappelle comme si c'était hier. C'était ceux du fermier. Web et Click. Un shire et un shetland à la retraite. C'était un matin, la première fois que j'ai été les voir. J'avais cinq ans.
 L'air était frais, en ce matin de juillet. La rosée avait été abondante et je m'étais levée tôt, comme chaque matin. Je mis un pied dehors. Encore en pyjama, j'avais enfilé mes bottes en caoutchouc. Je m'assis sur la balançoire mouillée et je les regardai. Tout les deux. Ils étaient là paisibles. Personne n'était encore réveillé, à part nous trois. J'eu soudain envie d'aller les voir de plus près. Personne n'en saurais rien, personne ne serais au courant. Je finis par me décider. Je rampai sous les barrières du pré et me retrouvai à l’intérieur. Ca me fit bizarre, au début, d’être de l’autre côté de cette barrière tant maudite pour m’avoir barré le chemin. J’en oubliai bien vite ce détail et revins au plus important. Les deux chevaux. Ils me regardaient d’un air interrogatif. Tout sourire, je m’en approchai doucement. Peut-être étaient-ils encore endormis, peut-être étaient-ils habitués, je ne sais pas, mais ce matin là, ils se laissèrent faire. Le temps passa plus vite que prévu et bientôt, une voix inconnue me fit sursauter. Je ne sus pas quoi faire, je restai pétrifiée.
« Bonjour. »
C’était le fermier. J’étais prise la main dans le sac. Comme je ne répondais pas, il continua.
« Que me vaut l’honneur de ta présence ? »
Demanda-t-il, tout sourire. Je réussis à bégayer quelques mots en rougissant.
« Je…Je voulais juste venir voir les chevaux. »
Ni une ni deux, il me souleva et me posa sur Click, le shetland. Très vite, je retrouvai le sourire. Plus tard, une fois qu’ils furent réveillés, il alla trouver mes parents et discuta un moment avec. Puis, il partit et revint quelques minutes plus tard avec un licol, une longe et une vielle bombe.
« En selle, je te donne ta première leçon d’équitation. »
 Vous pouvez le deviner, à la première suivit la seconde et ainsi de suite, chaque été jusqu’à ce que je devienne trop grande pour Click. Alors, Web prit le relais. Avec le fermier, j’avais pris l’habitude de leur parler en espagnol, origine de ce dernier. C’était comme un langage secret, dans ce pays francophone. Et ainsi continua la vie, jusqu’à il y a quelques jours, quand elle arriva. C’était une enveloppe cartonnée, avec un timbre spécial et une adresse imprimée. À l’intérieur, une simple feuille, quelques mots que vous connaissez trop bien pour que je vous les répète. Je paniquai. Je ne voulais pas partir. Quand je sorti, le jour même, je tombai sur plusieurs affichettes identiques à ma lettre. Mes parents ne rentrèrent que tard, ce jour là. Ces dernières années, ils avaient été de moins en moins présents et je m’étais vouées à mes amies, amis et à mon travail scolaire. J’étais une assez bonne élève, sans trop avoir à travailler. Un bel avenir en perspective. J’en eu le vertige, tout une vie peut-elle être détruite par quelques simples mots ? Apparemment, oui. Je ne dis rien à mes parents, je ne dis rien à personne. Même si, tous mes amis devaient être au courant. À partir de cette date, je n’allai plus à l’école. Je ne devais pas être la seule, car l’école ne prévint personne. J’errai dans l’appartement, sans vie. Je ne savais pas quoi faire. Qu’aurais-je donné pour retrouver mes deux chevaux préférés, en ce moment cruciale. J’étais en train de téléphoner à leur propriétaire, quand ils vinrent me chercher.
Cela faisait maintenant une semaine que la lettre circulait. Je n’avais trouvé qu’une solution pour me sentir plus proche des équidés. J’avais l’impression d’être une condamnée au buché.
« Et ils vont bien ? Tu es sure ? »
Cela faisait maintenant une demi-heure que je harcelais pour lui extirper quelques ultimes informations. On sonna à la porte. À contrecœur, je lui dis au revoir et raccrochai, tout en dirigeant vers la porte.
« J’arrive »
Criais-je. À quelques pas de celle-ci, un poing s’abattit dessus et une voix grave cria.
« Armée, Ouvrez la porte. »
J’en restais pétrifiée. Pendant une minute, le monde s’arrêta de tourner. Puis ils défoncèrent la porte.
Ils étaient quatre. Quatre hommes, la vingtaine. Le visage dur, mais lassé, lassé de faire tant de mal et tant de douleur autour de soi. Lassé de devoir amener les gens au buché que serait ce camp.
« Votre carte d’identité. »
Cracha l’un d’eux.
Je fis d’abord un pas en arrière, comme si cela pouvait m’éloigner de ce destin tragique. Après, je le reconnus. Louis. Un ami d’enfance. Quand nos yeux se croisèrent, il détourna le regard, dégouté. Nous avions gardé contact et il y trois semaines, nous rigolions encore sur MSN. Je leur tendis ma carte, le plus vieux s’en empara, la parcourut rapidement puis la rangea dans un petit carnet avec beaucoup d’autres.
« On l’embarque. »
Conclut-il. Mon ami me prit par le bras, pas trop fort. Nous sortîmes. Dehors, il y avait un camion de l’armée. Nous montâmes dedans, tous les deux. À l’intérieur, il y avait déjà une dizaine d’adolescents. Tous regroupés au fond. Certains pleuraient, d’autres regardaient le plafond ou le sol. Je m’assis à côté de Louis. Et nous démarrâmes. D’abord, il ne dit rien, mais je pouvais sentir sa culpabilité. Je lui posai simplement une question.
« Où va-t-on ? »
« Dans des camps d’entrainement. Moi, je serais muté autre part. Toi, je crois que tu vas quelque part dans le désert, avec tous ceux qui sont ici. J... Je suis désolé. »
Alors je me laissai aller sur son épaule et pleurai toutes les larmes de mon corps.
Le trajet fut long, interminable. Nous changeâmes plusieurs fois de bus, sous l’œil vigilant des soldats. Louis descendit au deuxième arrêt. Je lui dis adieu. Et nous finîmes par arriver. Arrivée en Enfer.
Prénom/Pseudo :: Alix/Lilix
Âge :: 14
Personnalité sur l'avatar :: Selena Gomez.
Double compte ? Na, Pas encore 
Votre activité sur le forum :: 5/7
Comment avez-vous découvert le forum ? En fait... c'est la mère de la copine de l'oncle du voisin de la femme du cousin de la tante du grand-père du frère du fils de l'amie de l'ancien copain du frère d'un ami d'enfance qui me l'a conseillé...ou le père de ...Je sais plus....
*C'est bon, je connais la sortie*
Une idée pour l'améliorer ? Ouiii,ouiii ! Je sais...mais je vous dirais pas !
Code :: J'ai toujours pas lu le reglement...
Dernière édition par Marine Wade le Jeu 4 Nov - 21:13, édité 1 fois | |
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